Jour 168 – Fête des pères Sarclo, Mon papa
Après les mamans il y a quelques semaines, c’est le tour des papas. Peut-être certains ont-ils eu le plaisir d’un petit déjeuner au lit servi par les enfants ? Les enfants ont préparé avec les maîtresses des cadeaux qui ne dureront peut-être pas bien longtemps, dont l’utilité n’est peut-être pas toujours la qualité première – mais il faudrait un cœur de pierre pour ne pas être touché et parfois ému aux larmes de les voir l’offrir comme si c’était le plus grand des trésors, en récitant le poème qu’ils ont appris et répété consciencieusement…
Pour les enfants, à cet âge, Papa est là pour toujours et avec lui rien de nous arrivera. Puis un jour c’est l’inverse, le temps fait son œuvre et ce sont les enfants qui doivent prendre soin de leurs parents. C’est ce que chantait Sarcloret, lorsque son propre père a été malade. « J’pensais pas que j’aimais mon papa au point d’écrire une chanson tendre, lui dire que ça peut attendre, qu’il peut partir une autre fois. »
Bonne fête à tous les papas !